#urologie
Il est bien fi ni le temps où trois classes thérapeutiques seulement étaient disponibles pour les hommes souffrant de troubles mictionnels liés à une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) et où les références médicales opposables statuaient (arrêté du 10 juillet 1998) : « il n’y a pas lieu d’utiliser l’association de deux médicaments ou plus pour traiter les troubles mictionnels de l’hypertrophie prostatique bénigne. »
En effet, les différentes familles ayant l’AMM peuvent être associées avec un bénéfi ce clinique symptomatique et un effet positif sur la réduction du risque de complications, rétention aiguë d’urine en particulier.
On sait par ailleurs que pour de nombreux patients, l’HBP fait partie d’une maladie plus générale, appelée syndrome métabolique.
En outre, troubles mictionnels et dysfonction érectile (DE) sont très régulièrement associés, même indépendamment de ce syndrome. Enfi n, la part de l’hyperactivité vésicale liée à l’HBP est souvent importante.
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