Les joueurs intensifs jouent quotidiennement, une ou plusieurs fois par jour, avec un risque élevé d’évoluer vers une situation problématique de jeu.
L’addiction aux jeux de hasard et d’argent (jeu pathologique) touche 2 % de la population générale. Le risque de jeu pathologique est 3 fois plus élevé chez les personnes ayant un trouble lié à l’usage de substances (alcool, drogues illicites) et 2 fois plus élevé chez les personnes ayant un trouble de l’humeur ou anxieux.
Toutes les catégories socioprofessionnelles sont touchées.
Cependant, les ouvriers (27 % des joueurs de PMU), les employés (37 % des joueurs de la Française des jeux), les inactifs sans emploi et les retraités (41 % des joueurs de casino) sont les catégories les plus retrouvées.
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