Parmi ces derniers, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et les inhibiteurs de monoamine oxydase (IMAO) arrivent en tête.
Mais aucune de ces molécules ne peut se targuer d’être un traitement symptomatique de l’acouphène, ce qui pose un problème d’adéquation de la réponse médicale à une question de santé publique concernant plus de 10 % de la population française.
Une appréciation précise de ce symptôme demeure un préalable à un ajustement possible des pratiques, qu’il faut encourager dans l’intérêt des patients. À quelle expérience est confronté le sujet souffrant d’acouphène ?
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