Alors que les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes s’améliorent avec le temps (de façon variable selon les femmes), les symptômes d’atrophie sont d’apparition plus tardive, d’aggravation progressive et ont des conséquences négatives sur la qualité de vie et l’activité sexuelle.
Toutefois, seules 25 % de celles qui en souffrent demandent une aide médicale.
Ces réticences féminines sont liées, d’une part, au manque de connaissances et/ou à la peur des éventuels effets secondaires du traitement et, d’autre part, au déficit de dialogue avec les soignants (difficultés à en parler surtout à un médecin homme, qui en retour y pense peu et la recherche rarement à l’interrogatoire).
Selon une étude internationale, 45 % des femmes de 55 à 65 ans en sont affectées.
De façon plus générale, la prévalence est de 4 % en pré ménopause et 47 % en post ménopause.
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