En dépit des progrès récents réalisés pour le traitement aigu de l’AVC et tout particulièrement de l’infarctus cérébral, la prévention reste le meilleur moyen de lutter contre ce fléau.
Dans les études de population, le risque de récidive d’un accident vasculaire cérébral varie de 6 à 12 % par an et dépend de son type, ischémique ou hémorragique, et de la cause sous-jacente.
La prévention secondaire concerne à la fois le risque de récidive cérébrovasculaire mais également celui d’évènements vasculaires non neurologiques, en particulier d’infarctus du myocarde.
Un tiers des patients ont des séquelles majeures, justifiant une évaluation et une rééducation précoce. La vie après un AVC impose de composer avec les nombreux changements qui affectent le patient et son entourage.
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