Bye bye cocaïne ? Addictologie
Publié : jeu. mars 15, 2018 12:48 pm
Selon les chiffres de l’OFDT en 2011, 1 500 000 Français ont déjà expérimenté la cocaïne dont 400 000 dans l’année. Contrairement aux idées reçues, elle touche surtout les hommes jeunes au chômage, les étudiants et, parmi la population active occupée, les artisans.
Le nombre d’overdoses, bien que faible, tend à devenir supérieur à celui de l’héroïne dans certains pays d’Europe. Les complications aiguës sont surtout vasculaires avec un risque de syndrome coronaire aigu identique d’une prise à l’autre (pas de tolérance).
À long terme, les conséquences sont nombreuses, tant somatiques (infectieuses, neurologiques, ORL…) que psychiatriques ou sociales, fi nancières, familiales...
La prise en charge de la dépendance à la cocaïne doit être globale (co-addictions dont l’alcool) et pluridisciplinaire (médicale, psychosociale).
Aucun médicament n’a d’AMM actuelle-ment.
La N-acétylcystéine est citée comme piste d’aide au sevrage et de réduction du craving, tandis que le topiramate et le disulfiram préviendraient la rechute.
D’autres traitements potentiels sont à l’étude : immunothérapie, baclofène, naltrexone, modafinil, ou encore une approche substitutive avec le méthylphénidate et la D-amphétamine.
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Le nombre d’overdoses, bien que faible, tend à devenir supérieur à celui de l’héroïne dans certains pays d’Europe. Les complications aiguës sont surtout vasculaires avec un risque de syndrome coronaire aigu identique d’une prise à l’autre (pas de tolérance).
À long terme, les conséquences sont nombreuses, tant somatiques (infectieuses, neurologiques, ORL…) que psychiatriques ou sociales, fi nancières, familiales...
La prise en charge de la dépendance à la cocaïne doit être globale (co-addictions dont l’alcool) et pluridisciplinaire (médicale, psychosociale).
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La N-acétylcystéine est citée comme piste d’aide au sevrage et de réduction du craving, tandis que le topiramate et le disulfiram préviendraient la rechute.
D’autres traitements potentiels sont à l’étude : immunothérapie, baclofène, naltrexone, modafinil, ou encore une approche substitutive avec le méthylphénidate et la D-amphétamine.
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