Les prothèses totales remplacent les surfaces articulaires fémorales et tibiales dans tous les cas et de façon moins constante celle de la rotule. On distingue :
– les prothèses non contraintes à glissement dont la stabilité est assurée par les ligaments latéral et médial et parfois par le ligament croisé postérieur (elles permettent les divers mouvements du genou) ;
– les prothèses contraintes à charnière (plus anciennes) qui sont stables grâce à un dispositif unissant composant fémoral et tibial (axe mécanique horizontal mobile autorisant la flexion-extension).
Les prothèses unicompartimentales remplacent l’une des 3 « sous-articulations » du genou : fémoro-tibiale interne, fémorotibiale externe ou fémoropatellaire.
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