β- bloquants (par voie orale ou en collyre), dérivés de l’ergot de seigle, macrolides, interféron, certaines drogues (LSD, cocaïne), et chimiothérapie (bléomycine, cisplatine, vinblastine) peuvent être en cause. Chez cette patiente artéritique, le β- bloquant est à l’évidence responsable.
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